lundi 2 février 2009

Cocktail de bienvenue

Bien, nous allons considérer que le billet précédent était un billet numéro zéro, en somme, qu'il comptait pour du beurre (salé, de cacahouète ou de karité, c'est comme vous préférez).

Qui dit nouvel espace d'expression dit inauguration, cocktail d'accueil et coupage de ruban.

Pour tout avouer, je ne sais pas encore très exactement ce que le chalant va trouver ici.
Peut-être y trouvera-t-il des extraits de compositions de bac à douche, ou encore des pages sorties de tentatives théâtrales vaines. Ce blog, c'est un peu la salle polyvalente du coin quelque part. Avec un peu de chance, la semaine prochaine, j'organiserai un loto, et celle d'après, un bal avec Dédé et son orchestre qui reprendront Dick Rivers et les Chaussettes Noires.
Mais je m'égare.

Revenons-en à notre cocktail.

Prenez d'abord un tiers de dramatologie aigüe. Mais attention, un tout petit tiers. De celle qui fait d'histoires presque banales de grands récits épiques (les jeunes femmes, épouses de roi ,qui s'entichent de leur beau-fils, c'est typiquement la clientèle de Jean-Luc Delarue et Mireille Dumas).

Ensuite un tiers un peu plus gros d'artisteries diverses et variées, plus ou moins opportunes, voguant entre enluminures placées au coin d'un hémistiche et effets tentés mais vains.

Ensuite, un bon tiers de bonne humeur, de turlupinades et calembredaines. De quoi animer mariages, communions et bar-mitsvas pour l'année.

Enfin, un grand tiers de digressivité affirmée. De celles qui imagine des arbres mandarins et des ciels de confiture. Tout cela sans consommation de toxiques, s'il vous plaît.

Ca fait quatre tiers, exactement, quatre dimensions qui rentrent tout à fait dans le cadre d'un blog, puisque tout dépend de la grosseur des tiers...

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